Le FC Sion se déplace à Bâle ce dimanche (16H30). Avant cette rencontre de la 15e journée, Paolo Tramezzani et Gaëtan Kaerlen étaient présents en conférence de presse.
Voici ce qu'il faut retenir de la conférence de presse en 5 déclarations :
Paolo Tramezzani, sur son bilan du mois d'octobre :
« Les rencontres face à Lucerne et à Young Boys sont les deux meilleures performances du mois d'octobre. Le reste aurait dû être mieux, c'est certain. Le travail à l'entraînement n'a pas changé et l'implication des joueurs est toujours là. Je pense que l'aspect mental joue un rôle dans nos performances en dessous face aux équipes du bas de tableau. Nous sommes bons contre les équipes du haut de tableau, et moins bons face aux équipes moins bien classées. »
Paolo Tramezzani, sur les trois rencontres à venir :
« Nous devons ouvrir une nouvelle page de notre saison à l'occasion des trois derniers matchs. Ceux-ci seront très importants, même s'ils ne seront pas déterminants. Seul le match de Coupe est déterminant puisqu'il s'agit d'une rencontre à élimination directe. Nos résultats nous diront ce que l'on va jouer au printemps prochain. »
Paolo Tramezzani, sur la rencontre face à Bâle :
« Si tu vas à Bâle pour jouer le match nul ou un 0-0, alors tu es sûr de perdre. Nous allons là-bas pour gagner et jouer notre jeu. Nous devons faire un résultat face à une bonne équipe. Ce genre d'équipes nous ont réussi depuis le début de la saison et j'espère que cela se poursuivra. »
Gaëtan Karlen, sur la défaite face à Zürich et les prochains matchs :
« Nous devons nous remobiliser après un passage plus compliqué. Il nous a manqué beaucoup de mouvements et de mobilité face à Zürich. Ce point a été travaillé cette semaine. Aujourd'hui, quand tu fais le compte sur ce que tu as perdu face aux équipes de fin de classement, c'est très frustrant. Vu comme le classement est très serré, tout se jouera au printemps, mais les points pris dans les deux derniers matchs ne seront plus à prendre. »
Gaëtan Karlen, sur sa situation personnelle :
« Je ne vais pas mentir que ma situation est compliquée, mais je dois l'accepter et donner le meilleur lorsqu'on fait appel à moi. L'arrivée de Mario Balotelli a réduit mon temps de jeu, mais c'est un immense plaisir de le côtoyer et d'apprendre à ses côtés. À 29 ans, je suis l'un des plus vieux du vestiaire. Je fais le lien entre les générations et aussi le lien avec l'entraîneur. Je ne me fixe pas d'objectifs personnels et je ne fais pas de fixette sur mon premier but. La saison dernière, je n'avais pas marqué beaucoup mais mon dernier but de la saison avait été important. »
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